Créations & Patrimoines

Dix artistes ont investi le Domaine du Saulchoir, un ancien couvent à Étiolles à l’occasion du déménagement du centre de Formation des Maîtres en juin 2013.  Si la meilleure approche pour voir les œuvres est bien le déplacement, dans ce vaste espace à l’architecture composite, ce sont également les œuvres qui prennent ici en charge ce mouvement de déplacement.

« Si tu veux dessiner, ferme les yeux et chante ». Ce conseil poétique donné par Picasso dit d’emblée ce que le sonore peut faire au visuel quand ils embrassent le projet. Mais ce sont les yeux grands ouverts que beaucoup d’artistes écoutent la radio dans leurs ateliers, d’autres travaillent en silence !

Le projet d’exposition relie la production artistique à l’idée de préservation d’un environnement naturel et d’une biodiversité dans lesquels l’homme responsable trouve sa juste place.

C’est à Jean Dubuffet que nous devons en partie ce titre extrait de Prospectus aux amateurs en tout genre : « peindre n’est pas teindre ». Si l’on se réfère précisément aux définitions des termes « peindre » et « teindre »,  il faut alors différencier les actions qui s’y rapportent.

La Pharmacie du Centre hospitalier du Tonnerrois s’est métamorphosée en lieu d’art. Encore tout investie des médicaments et de toutes les évocations d’images qui envahissent nos mémoires et nos imaginaires elle devient la demeure d’une exposition où le corps sera l’objet de toute notre attention.

Dans le cadre de cette exposition au musée d’art et d’histoire Paul Éluard de Saint-Denis quinze artistes montrent les enjeux actuels de l’enfermement dans l’art dans une rencontre inédite avec les collections du musée et le lieu lui-même en écho champ social actuel.

Le parcours d’art contemporain « Vivant végétal » se déploie à l’intérieur du parc de la maison de l’agglomération Val d’Yerres/Val-de-Seine. Il réunit une équipe d’enseignantes -chercheures en arts plastiques de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, élargie à des artistes qui œuvrent avec le végétal.